Installation en tant que mjpm liberal

Comme certains membres du bureau de la FNMJI, Mme Sodalis ne jure que par "professionnalisme". Utilisé dans et hors contexte, il semble dire que ceux qui n' adhérent pas sont des incompétents. Il faut entrer dans le moule ou être un"bricolot"????
Ayant gouté aux charmes des cabinets nationaux ( miroir aux alouettes)ils pensent être investis de tous pouvoirs. Leur investissement pour la profession est louable mais ils ne sont pas mandatés pour rédiger le "livre rouge" des MJPMI.
Il faut adhérer aux structures locales mais conserver son libre arbitre même pour des "bricoleurs"qui eux aussi peuvent avoir une éthique.

Bonjour,

Nous sommes donc au moins trois à trouver les propos de AL Arnaud exagérés et injustes.

Tout d'abord la définition du Prosélytisme : Zèle déployé pour faire de nouveaux adeptes.
Il n'est nullement question de secte et je maintiens donc mon qualificatif.

AL Arnaud dit :
« Car nous qui œuvrons pour la profession toute entière et participons aux concertations nationales, nous savons à quel point notre statut est fragile, nous connaissons le risque réel de voir notre mode d'exercice disparaitre un jour pas si éloigné que cela si nous ne nous rejoignons pas dans un mouvement national fort et représentatif »
AL Arnaud en dit trop ou pas assez ; Quel est ce risque qui pèse sur notre statut ?

Je considère par ailleurs que le terme de « bricolage » est parfaitement péjoratif voire méprisant.
D'un coté il y aurait les « professionnels » ( formés, informés, sachant appliquer la loi, ) et de l'autre celui qui a obtenu le CNC par obligation ( sic ) et agit avec la meilleure volonté du monde !
Heureusement que AL Arnaud ne nous explique pas comment elle classe les MJPM d'un coté ou de l'autre ( Adhérent FNMJI ? ).

Il est normal que sur ce forum s'échangent des avis divergents.

M. Legendre ; MJPM non bricoleur.

Mes chers confrères.
Je peux parfaitement comprendre que vous soyez d'un avis différent, voire que les mots employés par notre consœur vous chagrinent, le sens d'un mot dit ou écrit par l'un peut parfaitement être perçu avec un autre sens par l'autre (c'est la grosse spécialité de nos gouvernants...)
Je ne suis pas un grand partisan des associations, tout comme vous (et les autres) j'aime mon indépendance. Cependant, peut-on vraiment affirmer qu'individuellement aujourd'hui nous sommes capables de faire entendre les préoccupations de notre profession. Je veux prendre un seul exemple et malheureusement il y en beaucoup d'autres. Lorsque la DGCS fait suspendre le paiement des rémunérations des MJPM indépendants par circulaire, dites-moi sincèrement si individuellement l'un d'entre-nous est en mesure de faire fléchir la ministre ?
Je vous avoue qu'il m'arrive de ne pas être du même avis qu'AL ARNAUD, cependant regardant les réponses de notre consœur dans leur ensemble, il me semble tout de même qu'elles aident grandement ceux qui posent les questions. Par ailleurs, elle fait un travail bénévole au sein d'une association et j'estime que ça mérite respect et remerciements pour ce qu'elle fait pour nous tous.
Et bien-sûr mon avis a le droit de ne pas être partagé...

ben ... on est quatre !!!
Je n'ai pas l'impression de bricoler ; je fais preuve de professionalisme tous les jours et j'estime que le gros avantage de notre statut c'est de pouvoir, au contraire des associations tutélaires, personnaliser les mesures dans tous les sens du terme ce qu'un logiciel empêcherait sur certains point de même que l'adhésion pure et dure et directe à toute entitéé nationale.