L’altération des facultés corporelles et le respect des droits fondamentaux
Par arrêt du 12 juin 2025, la première chambre civile de la Cour de cassation (n°24-12.767), a jugé que la mise en place d’une mesure de protection juridique n’est pas justifiée lorsqu’une personne exprime sa volonté à l’aide d’un matériel adapté et avec l’assistance d’un tiers. Important, l’arrêt s’inscrit dans le respect des principes directeurs de la protection juridique des majeurs.