Mesdames et Messieurs, les humanistes juristes et autres bénévoles,
Nous venons vous supplier de bien vouloir nous apporter votre aide (de quelque manière que vous le pourriez) afin d’aider une vieille dame, née en 1924, qui a travaillé toute sa vie comme ouvrière, dont voici ci-dessous une petite synthèse de son histoire, à finir sa vie comme elle le souhaite :
Fait 1 : Décès de Mr X, l’époux de Mme Y :
Début des années 2006, Monsieur X, qui n’avait jamais eu aucun enfant, l’époux de Madame Y, est décédé, suite à un affreux cancer de la prostate qui le faisait atrocement souffrir.
Fait 2 : Déménagement de la fille de Mme Y en Province avec son époux :
Année 2011, l’unique fille de Mme Y, dénommée Mme Z, (obtenue hors du mariage avec un autre homme que Mr X), qui reprochait à Mme Y de l’avoir négligée au profit de Mr X, dès sa prise de retraite, vendit son appartement parisien situé dans la commune A, où se trouvent, en outre l’appartement de sa mère dans une copropriété dans laquelle Mme Z possédait un garage et puis alla s’installer avec son mari en province, dans une commune B situé à 8 h de route de la commune A, (abandonnant ainsi sa mère toute seule).
Fait 3 : Demande de l’aide de notre association faite par Mme Y :
Année 2011, Mme Y qui avait des difficultés pour faire ses propres courses quotidiennes, demanda à Mr E, son Neveu, (qui était l’apprenti de feu son époux, Mr X, auquel il reprochait d’ailleurs l’avoir maltraité), de lui faire ses courses moyennant une rémunération.
Par la suite, constatant que son Neveu qui détournait son argent, lui faisait des chantages continus (consistant à la menacer de ne plus venir lui faire ses courses) et que sa fille l’a abandonnée, Mme Y demanda l’aide de notre Association conformément aux statuts de celle-ci et aussi parce qu’elle en était la secrétaire générale.
En réponse à cette demande, l’association rédigea de concert avec Madame Y et Mme V, une adhérente de l’association, en laquelle Madame Y avait confiance et à laquelle elle avait donné auparavant plusieurs mandats et pouvoirs), un Mandat de Protection future, dans lequel Mme V devait s’occuper uniquement la défense de sa personne mais pas de ses finances dont la gestion devrait être confiée à un Tiers,
Fait 4 : Décès de l’époux de la fille de Mme Y en Province :
Année 2012, l’époux de la fille de Mme Y, décède suite à un grave cancer à La Plaine Sur Mer.
Fait 5 : Déclenchement de la guerre entre MERE ET FILLE :
Année 2012, eut lieu le premier conflit d’intérêt entre Mme Y et sa fille Mme Z à cause du refus de Mme Y de vendre son appartement pour aller s’installer à La PLAINE SUR MER, comme le lui a demandé sa fille, qui ne disposait pas d’une grande retraite et qui voulait profiter de la retraite de sa mère qui était supérieure à la sienne.
Fait 6 : Premier conflit entre la fille de Mme Y et Mme V
Année 2012, Mme Z, la fille de Mme Y, voyant que sa mère avait trouvé une aide pour défendre ses intérêts, l’a contacta et lui donna l’ordre de s’éloigner de Mme V et de ne plus lui parler. En réponse à cette menace, Mme Y lui indiqua qu’elle refusait et qu’elle a placé toute sa confiance en V à laquelle elle a donné le pouvoir de la représenter dans tous ses actes civils,
Fait 7 : Première action de déstabilisation de Mme Y
Année 2013, pur se venger, la fille de Mme Y fit appel à son cousin afin de l’aider à éliminer Mme V et l’association. C’est dans ce cadre que celui-ci se lia au copropriétaire dont l’appartement était situé au dessus de celui de Mme Y, qui en voulait à Mme Y parce que celle-ci soutenait Mme V.
ILS MIRENT EN PLACE UNE STRATEGIE POUR CHASSER MME Y DE SON APPARTEMENT.
Ainsi, d’un côté, le dit copropriétaire entreprit de mener des troubles systématiques de jouissances comportant, des bruits de parquet, des tapages nocturnes, des imitations de pleurs de chats, qui empêchaient systématiquement Mme Y de bien dormir toutes les nuits.
De l’autre côté, Mr E le Neveu de Mme Y, l’a droguait en lui apportant des bouteilles d’alcool sous prétexte qu’elle pourrait ainsi dormir tranquillement.
RESULTAT : Mme Y droguée par l’alcool et fatiguée par manque de sommeil, fit une très grave chute de son lit et dut être hospitalisée en urgence à l’hôpital de Nanterre par les pompiers.
Face à cette nouvelle situation, Mme Y (qui nous a indiqué, que même à l’hôpital, l’on continuait à la harceler par des bruits de chat abandonné et des appels téléphoniques anonymes), nous demanda à nouveau de l’aider.
A cet effet nous l’avons mise en contact avec un avocat pour la défense ses intérêts.
L’avocat de Mme Y écrivit une lettre au copropriétaire opposant, pour lui demander de cesser d’importuner sa cliente. Perturbé par cette intervention inattendue d’un avocat dans cette affaire, et le risque de constater qu’il détournait l’argent de Mme Y, son Neveu envoya une lettre à l’avocat pour lui dire qu’il allait témoigner contre sa TANTE, s’il intentait une action judiciaire contre le copropriétaire opposant à sa TANTE
En fait on peut avancer sans risque d’erreur que Mr E le Neveu de Mme Y qui était entrain de détourner son argent et qui le dilapidait avait peur d’être découvert par l’Avocat
Fait 8 : Préparation de la mise sous tutelle de Mme Y :
Années 2013-2014, Constatant que Mme Y a pris un Avocat pour se défendre la fille de Mme Y et son COUSIN, ont mis en place, sous la direction de la compagne du copropriétaire opposant, une juriste, une stratégie devant aboutir à la mise sous tutelle Mme Y.
En application de leur projet, les bruits s’amplifièrent à tel point que Mme Y n’a jamais pu rester plus de quelques mois dans son appartement car elle a du changer à plusieurs reprises d’hôpital et de maisons de repos.
En Juillet 2014, constatant que Madame V menait des démarches pour essayer de régler définitivement le problème de Mme Y, et profitant d’une nouvelle hospitalisation de Mme Y à Nanterre, son Neveu est arrivé à se procurer le 9 juillet 2014, un certificat MEDICAL accablant qui explicite la nécessité de mettre Mme Y sous tutelle et l’inutilité de la faire convoquer par le Juge de Tutelle.
En attendant le résultat de leur demande de la mise sous tutelle de Mme Y, sa fille pour l’éloigner de Paris, lui proposa de venir visiter une Maison de retraite à La Plaine sur Mer, en lui promettant de la ramener à Paris dans le cas où cette Maison de Retraite ne lui plaisait, autrement ils allaient lui ramener le corps de son mari à La Plaine sur Mer.
Fait 9 : Mise sous tutelle de Mme Y :
Année 2014, Naïvement, Madame Y accepta cette proposition et sournoisement son Neveu lui proposa de l’amener à La Plaine sur MER en voiture (durée du voyage= 6 à 8 heures de route). Dès l’arrivée de Mme Y à La Plaine sur Mer, sa fille et son Neveu l’ont installé dans une Maison de Retraite (mais pas chez la fille de Mme Y), en lui disant qu’il n’était plus question qu’elle retourna à Paris. Par la même occasion ils lui ont retirèrent tous ses chéquiers et ses dossiers personnels, afin de l’empêcher d’avoir tout moyen pour se défendre. La fille de Mme Y introduisit alors un dossier de mise sous sa tutelle de sa mère (qu’elle aimait bien et avec laquelle elle s’entendait). Au vu du dit dossier et sans avoir entendu Mme Y, le juge de tutelle, accorda cette demande.
Fait 10 : INTERJECTION D’APPEL CONTRE LE JUGEMENT :
Année 2014, dès que Mme Y a reçu le jugement de sa mise sous la tutelle de sa fille elle envoya au Tribunal d’Instance une lettre de sa contestation et demanda à l’association de dire à son Avocat d’interjeter Appel, ce qui fut fait et l’affaire est en attente de décision de la Cour d’Appel de Versailles.
L’AFFAIRE EST EN ATTENTE DU JUGEMENT DE LA COUR D’APPEL
Fait 11 : Le refus du Juge de TUTELLE :
Année 2014, de peur de mourir à La Plaine sur Mer comme le lui a indiqué sa fille, Mme Y, demanda à l’association de prier son Avocat de tout faire pour la ramener à Paris et de l’enlever sous la tutelle de sa fille avec laquelle elle ne s’était jamais entendue.
L’avocat, sensibilisé par cet appel d’une vieille dame aux abois se rendit à La Plaine sur Mer pour rencontrer Mme Y et s’assurer de la réalité de sa demande.
Après presqu’une journée de voyage, l’Avocat rencontra Mme Y qui lui a confirmé, qu’elle voulait revenir vivre près de Mme V qui est la seule personne en laquelle elle a confiance. Dès son retour à Paris l’avocat a écrit au Juge une lettre pour lui demander d’accepter les demandes de sa cliente.
Le JUGE répondît à l’Avocat par un refus de changer les choses.
Mesdames et Messieurs, les humanistes juristes et autres bénévoles,
Nous venons vous supplier de bien vouloir nous apporter votre aide (de quelque manière que vous le pourriez) afin d’aider une vieille dame, née en 1924, qui a travaillé toute sa vie comme ouvrière,
Cordialement et Merci d’avance