Subir une formation ... : comme une tôle plate subit la pression de la forme pour devenir objet utile.
A l'extrème, je songeais au stéréotype du "savant fou" incapable de gérer son quotidien.
Je m'étais dit comme cela que si les personnes possédant un savoir trouvent légitime que leur temps vaille plus que celui des autres, c'était peut-être parce que la formation était particulièrement éprouvante et que le handicap posé ainsi sur la socialité naturelle de l'indidivu se devait d'être compensé; cela aurait justifié les disproportions de valeurs pour des minutes de vie identiques et passées à s'accomplir dans l'apprentissage permanent d'un métier choisi.
Bien sûr,
ce n'était qu'une "curiosité" d'amateur de mots, de chiffres et de lettres mais quand même : "Chaque minute compte et certains maux comptent triple", c'est une curieuse règle pour un jeu de société;
Remarquez, si les experts économistes la considèrent juste c'est que je dois probablement manquer d'efficience dans ma reflexion.
Quand même, j'ai du mal à me défaire de l'idée selon laquelle une expertise ne peut se faire qu'en binôme et partant de là je me demande bien pourquoi les 160€ ne sont pas partagés à l'équitable entre le patient et son expert.
Un détail qui m'échappe .... ?
"J'ai des doutes !"