personne de confiance /prime de naissance ...

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il y a 5 ans 5 mois #17683 par sandrine79
personne de confiance /prime de naissance ... a été créé par sandrine79
Bonjour,
je suis sous curatelle renforcee je souhaiterai designer une personnede confiance on veut placé mon bebe d une semaine en famille d accueil
il est possible aussi de faire placer dans la famille ma belle sœur serait d accord.puis je designer une personne de confiance en etant sous curatelle renforcée
j ai egalement ecrit a une association da bus de curatelle
Bonjour,
serait il possible de m envoyer par courrier le dossier a remplir afin de solliciter votre aide s'il vous plaît? Je rencontre de nombreux problème avec ma curatelle et le juge des tutelles qui refusent tout deux ma demande de mariage. Une demande de main levée a été demandé et ne semblerai pas favorable au vue que mon enfant est trisomique et que mon compagnon en situation irrégulière(il peut a tout moment se faire expulser). Mon enfant est né le 23 septembre 2018.Au départ lors de la demande de curatelle, il était question de me placer sous curatelle en raison de mes" problèmes mentaux ".A ce jour, un psychiatre atteste de ma stabilité clinique et ne note aucun élément psychotique ou thymique de décompensation. La contrainte de soins est levée et tout traitement(neuroleptiques : Abilify) arrêté. En sachant que ces neuroleptiques on eu beaucoup de conséquences sur ma vie a cause des effets secondaires :




fréquent


Peu fréquent


Fréquence indéterminée


Affections hématologiques et du système lymphatique








Leucopénie

Neutropénie

Thrombopénie


Affections du

système

immunitaire








Réaction allergique (par exemple réaction anaphylactique, oedème de Quincke comprenant gonflement de

la langue, oedème de la langue, oedème de la face, prurit ou

urticaire)


Affections

endocriniennes





Hyperprolactinémie


Coma diabétique hyperosmolaire Acidocétose diabétique Hyperglycémie


Troubles du métabolisme et de la nutrition


Diabète


Hyperglycémie


Hyponatrémie

Anorexie

Perte de poids

Prise de poids


Affections

psychiatriques


Insomnie

Anxiété

Impatiences


Dépression

Hypersexualité


Tentative de suicide, idées

suicidaires, suicide accompli (voir. rubrique Mises en garde et précautions d'emploi.)

Jeu pathologique

Agressivité

Agitation

Nervosité


Affections du système nerveux


Akathisie

Trouble

extrapyramidal

Tremblement

Céphalée

Sédation

Somnolence

Sensation

vertigineuse


Dyskinésie tardive Dystonie


Syndrome malin des neuroleptiques (SMN)

État de grand mal épileptique Syndrome sérotoninergique

Trouble du langage


Affections oculaires


Vision trouble


Diplopie





Affections

cardiaques





Tachycardie


Mort subite inexpliquée

Torsades de pointes

QT allongé

Arythmies ventriculaires

Arrêt cardiaque

Bradycardie


Affections

vasculaires





Hypotension

orthostatique


Thromboembolie veineuse (y

compris embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) Hypertension

Syncope


Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales





Hoquet


Pneumonie de déglutition Laryngospasme

Spasme oropharyngé


Affections gastrointestinales


Constipation

Dyspepsie

Nausées

Ptyalisme

Vomissement





Pancréatite

Dysphagie

Diarrhée

Gêne abdominale

Gêne de l'estomac


Affections

hépatobiliaires








Insuffisance hépatique

Hépatite

Ictère

Augmentation de l'alanine aminotransférase (ALAT) Augmentation de l'aspartate aminotransférase (ASAT) Augmentation de la gamma glutamyl transférase (GGT)

Augmentation des phosphatases alcalines


Affections de la peau et du tissu sous-cutané








Rash

Réaction de photosensibilité

Alopécie

Hyperhidrose


Affections musculo- squelettiques et systémiques








Rhabdomyolyse

Myalgie

Raideur


Affections du rein et des voies urinaires








Incontinence urinaire

Rétention urinaire


Affections gravidiques, puerpérales et périnatales








Syndrome de sevrage

médicamenteux néonatal (voir rubrique Grossesse et allaitement)


Affections des organes de reproduction et du sein








Priapisme


Troubles généraux et anomalies au site d'administration


Fatigue





Trouble de la thermorégulation (par exemple hypothermie, fièvre)

Douleur thoracique

Œdème périphérique


Investigations








Glycémie augmentée

Hémoglobine glycosylée

augmentée

Fluctuation du glucose sanguin Augmentation de la Créatine phosphokinase sanguine





Description des effets indésirables sélectionnés



Symptômes extrapyramidaux

Schizophrénie: dans une étude clinique contrôlée long terme de 52 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux, comprenant parkinsonisme, akathisie, dystonie et dyskinésie, a été globalement plus faible chez les patients traités par l'aripiprazole (25,8 %) comparativement aux patients traités par l'halopéridol (57,3 %). Dans une étude clinique long terme de 26 semaines contrôlée versus placebo, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 19 % chez les patients traités par l'aripiprazole et de 13,1 % chez les patients traités par le placebo. Dans une autre étude clinique contrôlée long terme de 26 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 14,8 % chez les patients traités par l'aripiprazole et de 15,1 % chez les patients traités par l'olanzapine.



Episodes maniaques dans les troubles bipolaires de type I : dans une étude clinique contrôlée de 12 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 23,5 % chez les patients traités par aripiprazole et de 53,3 % chez les patients traités par halopéridol. Dans une autre étude clinique de 12 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 26,6 % chez les patients traités par aripiprazole et 17,6 % chez les patients traités par lithium. Dans l'étude clinique contrôlée versus placebo à long terme de 26 semaines de phase de maintenance, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 18,2 % chez les patients traités par aripiprazole et de 15,7 % chez les patients traités par le placebo.



Akathisie

Dans les études cliniques contrôlées versus placebo, l'incidence d'akathisie chez les patients bipolaires était de 12,1 % avec aripiprazole et de 3,2 % avec placebo. Chez les patients schizophrènes, l'incidence d'akathisie était de 6,2 % avec aripiprazole et de 3,0 % avec placebo.



Dystonie

Effet de classe : des symptômes de dystonie, contractions anormales prolongées d'un groupe musculaire ont été rapportés chez des patients prédisposés durant les premiers jours de traitement. Les symptômes dystoniques incluent : spasme des muscles de la nuque, progressant parfois vers une oppression de la gorge, une difficulté à avaler, une difficulté à respirer et/ou une protrusion de la langue. Alors que ces symptômes peuvent survenir à faibles doses, ils ont été rapportés plus fréquemment et avec une plus grande sévérité avec des antipsychotiques de première génération de forte puissance et à plus fortes doses. Un risque élevé de dystonie aigüe a été observé dans des groupes d'hommes et de jeunes.



Prolactine

Dans les essais cliniques pour les indications approuvées et après la commercialisation, une augmentation et une diminution du taux de prolactine sérique ont été toutes deux observées par rapport à la valeur initiale après traitement avec l'aripiprazole (rubrique Propriétés pharmacodynamiques).



Investigations

Parmi les patients ayant présenté des variations des paramètres biologiques standards et lipidiques pouvant être cliniquement significatives (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques), il n'a pas été observé de différence importante de leur état clinique entre le groupe aripiprazole et le groupe placebo. Des élévations des CPK (créatine-phosphokinase), généralement transitoires et asymptomatiques, ont été observées chez 3,5 % des patients traités par l'aripiprazole et chez 2,0 % des patients traités par le placebo.



Population pédiatrique



Schizophrénie chez les adolescents âgés de 15 ans et plus

Dans un essai clinique à court terme contre placebo mené chez 302 adolescents schizophrènes (âgés de 13 à 17 ans), la fréquence et la nature des effets indésirables étaient similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents sous aripiprazole que chez les adultes sous aripiprazole (et plus fréquemment que sous placebo) : somnolence/sédation et trouble extrapyramidal ont été très fréquents (≥ 1/10), sécheresse de la bouche, augmentation de l'appétit et hypotension orthostatique ont été fréquemment rapportés (≥ 1/100, < 1/10). Le profil de tolérance lors d'un essai d'extension, en ouvert, sur 26 semaines était similaire à celui observé lors de l'essai à court terme contre placebo.



L'analyse poolée d'une population d'adolescents (âgés de 13 à 17 ans) atteints de schizophrénie, exposée au produit sur des périodes allant jusqu'à 2 ans, révèle une incidence de prolactine plasmatique basse chez les filles (< 3 ng/ml) et les garçons (< 2 ng/ml) de 29,5 % et 48,3 %, respectivement. Au sein d'une population d'adolescents (âgés de 13 à 17 ans) atteints de schizophrénie, exposée à une posologie allant de 5 mg à 30 mg d'aripiprazole pendant une période allant jusqu'à 72 mois, l'incidence d'une prolactine sérique basse chez les filles (< 3 ng/ml) et chez les garçons (< 2 ng/ml) était respectivement de 25,6 % et 45,0 %.



Episodes maniaques dans les troubles bipolaires de type I chez l'adolescent âgé de 13 ans et plus La fréquence et la nature des effets indésirables chez les adolescents atteints de troubles bipolaires de type I étaient similaires à celles observées chez les adultes, à l'exception des réactions suivantes : très fréquemment (≥ 1/10) somnolence (23,0 %), troubles extrapyramidaux (18,4 %), akathisie (16,0 %) et fatigue (11,8 %) ; fréquemment (≥ 1/100, < 1/10) douleur abdominale supérieure, augmentation de la fréquence cardiaque, prise de poids, augmentation de l'appétit, contractions musculaires et dyskinésie.



Les effets indésirables suivants avaient une relation effet-dose possible : troubles extrapyramidaux (l'incidence était de 9,1 % à une posologie de 10 mg, 28,8 % à une posologie de 30 mg et 1,7 % pour le placebo) ; et akathisie (l'incidence était de 12,1 % à une posologie de 10 mg, 20,3 % à une posologie de 30 mg et 1,7 % pour le placebo).



Les variations moyennes de poids chez l'adolescent présentant des troubles bipolaires de type I après 12 et 30 semaines de traitement étaient respectivement de 2,4 kg et 5,8 kg avec l'aripiprazole et de 0,2 kg et 2,3 kg avec le placebo.



Dans la population pédiatrique, une somnolence et une fatigue ont été observés plus fréquemment chez les patients atteints de troubles bipolaires par rapport à ceux atteints de schizophrénie.



Dans la population pédiatrique atteinte de troubles bipolaires (patients âgés de 10 à 17 ans), exposée au produit sur des périodes allant jusqu'à 30 semaines, l'incidence des taux plasmatiques bas de prolactine était de 28,0 % chez les filles (< 3 ng/ml) et de 53,3 % chez les garçons (< 2 ng/ml).



Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.<www.ema.europa.eu/docs/en_GB/document_li...3/03/WC500139752.doc>

j ai été reçu par deux expert psychiatre, le premier s inquiété du fait que mon enfant avait pendant ma grossesse une malformation cardiaque mais qui s est révélé négative a la deuxième échographie.Il s iniquité aussi du fait que j étais prête a rejoindre mon compagnon au Maroc en ca s d'expulsion. Le deuxième était prêt a allégée la mesure mais a constaté après avoir consulté ma curatelle que je venais de rencontrer un expert psychiatre peut de temps avant. Donc n a pas envoyé de lettre au juge des tutelles. Cette dernière m a dit qu' elle ne me verserai pas la prime de naissance qu' elle me la donnerai en fonction des achats a faire pour le bebe. Je vis avec mon compagnon depuis plusieurs mois et déclaré a la caf depuis fin avril.

ma curatelle ne me versait que 80 euros par semaines tout en sachant que je vivait avec monsieur; Par solidarité et parce qu' il est le père de mon enfant je l ai aidé financièrement et cela continue aujourd hui. Ma curatelle était d accord pour m augmenter mon pécule par semaines de 20 euros mais a prétexté qu' elle venait de me verser 50 euros pour le petit et donc qu' elle ne me verserait pas les 20 euros supplémentaire par semaine! .Aucune humanité pour je crois une ancienne assistante sociale devenu mandataire judiciaire. J ai quand même obtenu d elle qu' elle prenne en charge les repas de mon compagnon dans un restaurant associative a raison de 3.70 euros le repas par jours pour 5 jours ainsi que pour moi même.La prime de naissance n étant versée qu' au deuxième mois de naissance j ai avancé tout les dépenses pour l arrivée du bebe né prématuré avec mes 80 euros par semaines sans compté et je vous l ai décrit plus haut, la nourriture l achat de chaussure pour monsieur sans ressources. Aujourd hui une nouvelle menace plane sur ma tete La maison de la solidarité et PMI de poitiers ont ecrit au procureur de la république car il s inquiéterai de mes problèmes psychiatrique…

A noter egalement qu elle a refuser de me donner 20 euros supplementaires mais qu elle etait d accord pour me payer une chambre d hopital a 20 euros par jour pour une duree imprecise (mon bebe est premature et l equipe medicale ne sait quand mon bebe pourra sortir)mais au moins deux a trois semaines ce qui represente 420 euros pour 3 semaines tout de meme!J ai demande l ouverture d un livret il y a plusieurs mois elle m a dit " ne me demande rien en terme d argent" cela aurait pu permettre les evenements survenues depuis ces derniers mois.j ai faiili etre mis sous tutelle au lieu de curatelle renforcee ( statut actuelle) j ai demande egalement l ouverture d un livret pour mes enfants elle n est pas d accord J aurai aime leur mettre un peu d argent sur un livret a chaque anniversaire!
Merci cordialement

j ai ecrit egalement a un avocat
Nous venons de recevoir la decision du juge des tutelles qui est defavorable au mariage, le mariage ne permettrait pas de regulariser la situation administrative de monsieur Nous souhaitons faire appel et demandons a ce que vous nous defendiez dans cette affaires puisque vous etes la plus a meme a responder aux questions lies au droit des etranger.je vous envoie par courier la decision recu aujourd hui.
Merci cordialement
dans mon entourage personne n a recu d autorisation de mariage sous tutelle curatelle
et le juge me demande pourquoi j ai pas demandé le mariage avant de concevoir l enfant la curatelle m a autorisé un mariage religieux pour une precedente rencontre mais pas un mariage administartive
encore heureux que nous ommes en france et que nous sommes pas condammé surtout pour le pere a de la prison pour avoir un enfant hors mariage c est de l abus!
:( :( :( :( :( :( :( :(

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il y a 5 ans 5 mois - il y a 5 ans 5 mois #17684 par CatherineG
Réponse de CatherineG sur le sujet Re: personne de confiance /prime de naissance ...
Bonjour

concernant la personne de confiance que vous voulez designer, il faut savoir qu'elle ne vous accompagne que dans le cadre de votre suivi médical, elle n'a aucun rôle dans les autres domaines de la vie quotidienne. Vous pouvez désigner la personne de votre choix à votre médecin hospitalier ou au service des entrées de l'hôpital

pour vos autres questions, il est difficile de vous répondre sans connaitre précisément votre situation mais si vous avez pris les conseils d'un avocat, il aura accès à ces informations et peut échanger avec votre curatrice pour lui présenter vos demandes.

concernant l'argent et votre compagnon, je ne connais pas vos ressources et votre budget mais la curatrice est là pour vous et non pour lui, elle gère votre argent et votre budget pour vos dépenses et celles de votre enfant, votre ami doit subvenir seul à ses besoins, ce n'est pas le rôle de la curatrice de vous donner de l'argent pour votre ami. Votre budget ne permet sans doute pas de faire vivre trois personnes. il peut se faire aider par une assistante sociale.

la prime de naissance fait partie de vos ressources et la curatrice doit l'intégrer dans votre budget, elle ne doit pas vous la remettre sauf si votre budget vous permet d'avoir un solde excédentaire de ce montant là.

concernant les livrets, la curatrice ne peut ouvrir un livret que si votre budget le permet. et uniquement après avoir payé toutes vos charges (les votres et celles de votre enfant, pas celles de votre ami)

pour les autres questions, il est difficile de vous répondre sans vous connaitre et sans connaitre la situation, faites vous aider par votre avocat et maintenez la communication avec votre curatrice même si vous n'êtes pas toujours d'accord. Faites vous expliquer les choses plus en détail si vous ne les avez pas comprises.
Dernière édition: il y a 5 ans 5 mois par CatherineG.

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