Bonjour,
je suis sous curatelle renforcee je souhaiterai designer une personnede confiance on veut placé mon bebe d une semaine en famille d accueil
il est possible aussi de faire placer dans la famille ma belle sœur serait d accord.puis je designer une personne de confiance en etant sous curatelle renforcée
j ai egalement ecrit a une association da bus de curatelle
Bonjour,
serait il possible de m envoyer par courrier le dossier a remplir afin de solliciter votre aide s'il vous plaît? Je rencontre de nombreux problème avec ma curatelle et le juge des tutelles qui refusent tout deux ma demande de mariage. Une demande de main levée a été demandé et ne semblerai pas favorable au vue que mon enfant est trisomique et que mon compagnon en situation irrégulière(il peut a tout moment se faire expulser). Mon enfant est né le 23 septembre 2018.Au départ lors de la demande de curatelle, il était question de me placer sous curatelle en raison de mes" problèmes mentaux ".A ce jour, un psychiatre atteste de ma stabilité clinique et ne note aucun élément psychotique ou thymique de décompensation. La contrainte de soins est levée et tout traitement(neuroleptiques : Abilify) arrêté. En sachant que ces neuroleptiques on eu beaucoup de conséquences sur ma vie a cause des effets secondaires :
fréquent
Peu fréquent
Fréquence indéterminée
Affections hématologiques et du système lymphatique
Leucopénie
Neutropénie
Thrombopénie
Affections du
système
immunitaire
Réaction allergique (par exemple réaction anaphylactique, oedème de Quincke comprenant gonflement de
la langue, oedème de la langue, oedème de la face, prurit ou
urticaire)
Affections
endocriniennes
Hyperprolactinémie
Coma diabétique hyperosmolaire Acidocétose diabétique Hyperglycémie
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Diabète
Hyperglycémie
Hyponatrémie
Anorexie
Perte de poids
Prise de poids
Affections
psychiatriques
Insomnie
Anxiété
Impatiences
Dépression
Hypersexualité
Tentative de suicide, idées
suicidaires, suicide accompli (voir. rubrique Mises en garde et précautions d'emploi.)
Jeu pathologique
Agressivité
Agitation
Nervosité
Affections du système nerveux
Akathisie
Trouble
extrapyramidal
Tremblement
Céphalée
Sédation
Somnolence
Sensation
vertigineuse
Dyskinésie tardive Dystonie
Syndrome malin des neuroleptiques (SMN)
État de grand mal épileptique Syndrome sérotoninergique
Trouble du langage
Affections oculaires
Vision trouble
Diplopie
Affections
cardiaques
Tachycardie
Mort subite inexpliquée
Torsades de pointes
QT allongé
Arythmies ventriculaires
Arrêt cardiaque
Bradycardie
Affections
vasculaires
Hypotension
orthostatique
Thromboembolie veineuse (y
compris embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) Hypertension
Syncope
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Hoquet
Pneumonie de déglutition Laryngospasme
Spasme oropharyngé
Affections gastrointestinales
Constipation
Dyspepsie
Nausées
Ptyalisme
Vomissement
Pancréatite
Dysphagie
Diarrhée
Gêne abdominale
Gêne de l'estomac
Affections
hépatobiliaires
Insuffisance hépatique
Hépatite
Ictère
Augmentation de l'alanine aminotransférase (ALAT) Augmentation de l'aspartate aminotransférase (ASAT) Augmentation de la gamma glutamyl transférase (GGT)
Augmentation des phosphatases alcalines
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Rash
Réaction de photosensibilité
Alopécie
Hyperhidrose
Affections musculo- squelettiques et systémiques
Rhabdomyolyse
Myalgie
Raideur
Affections du rein et des voies urinaires
Incontinence urinaire
Rétention urinaire
Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
Syndrome de sevrage
médicamenteux néonatal (voir rubrique Grossesse et allaitement)
Affections des organes de reproduction et du sein
Priapisme
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Fatigue
Trouble de la thermorégulation (par exemple hypothermie, fièvre)
Douleur thoracique
Œdème périphérique
Investigations
Glycémie augmentée
Hémoglobine glycosylée
augmentée
Fluctuation du glucose sanguin Augmentation de la Créatine phosphokinase sanguine
Description des effets indésirables sélectionnés
Symptômes extrapyramidaux
Schizophrénie: dans une étude clinique contrôlée long terme de 52 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux, comprenant parkinsonisme, akathisie, dystonie et dyskinésie, a été globalement plus faible chez les patients traités par l'aripiprazole (25,8 %) comparativement aux patients traités par l'halopéridol (57,3 %). Dans une étude clinique long terme de 26 semaines contrôlée versus placebo, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 19 % chez les patients traités par l'aripiprazole et de 13,1 % chez les patients traités par le placebo. Dans une autre étude clinique contrôlée long terme de 26 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 14,8 % chez les patients traités par l'aripiprazole et de 15,1 % chez les patients traités par l'olanzapine.
Episodes maniaques dans les troubles bipolaires de type I : dans une étude clinique contrôlée de 12 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 23,5 % chez les patients traités par aripiprazole et de 53,3 % chez les patients traités par halopéridol. Dans une autre étude clinique de 12 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 26,6 % chez les patients traités par aripiprazole et 17,6 % chez les patients traités par lithium. Dans l'étude clinique contrôlée versus placebo à long terme de 26 semaines de phase de maintenance, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 18,2 % chez les patients traités par aripiprazole et de 15,7 % chez les patients traités par le placebo.
Akathisie
Dans les études cliniques contrôlées versus placebo, l'incidence d'akathisie chez les patients bipolaires était de 12,1 % avec aripiprazole et de 3,2 % avec placebo. Chez les patients schizophrènes, l'incidence d'akathisie était de 6,2 % avec aripiprazole et de 3,0 % avec placebo.
Dystonie
Effet de classe : des symptômes de dystonie, contractions anormales prolongées d'un groupe musculaire ont été rapportés chez des patients prédisposés durant les premiers jours de traitement. Les symptômes dystoniques incluent : spasme des muscles de la nuque, progressant parfois vers une oppression de la gorge, une difficulté à avaler, une difficulté à respirer et/ou une protrusion de la langue. Alors que ces symptômes peuvent survenir à faibles doses, ils ont été rapportés plus fréquemment et avec une plus grande sévérité avec des antipsychotiques de première génération de forte puissance et à plus fortes doses. Un risque élevé de dystonie aigüe a été observé dans des groupes d'hommes et de jeunes.
Prolactine
Dans les essais cliniques pour les indications approuvées et après la commercialisation, une augmentation et une diminution du taux de prolactine sérique ont été toutes deux observées par rapport à la valeur initiale après traitement avec l'aripiprazole (rubrique Propriétés pharmacodynamiques).
Investigations
Parmi les patients ayant présenté des variations des paramètres biologiques standards et lipidiques pouvant être cliniquement significatives (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques), il n'a pas été observé de différence importante de leur état clinique entre le groupe aripiprazole et le groupe placebo. Des élévations des CPK (créatine-phosphokinase), généralement transitoires et asymptomatiques, ont été observées chez 3,5 % des patients traités par l'aripiprazole et chez 2,0 % des patients traités par le placebo.
Population pédiatrique
Schizophrénie chez les adolescents âgés de 15 ans et plus
Dans un essai clinique à court terme contre placebo mené chez 302 adolescents schizophrènes (âgés de 13 à 17 ans), la fréquence et la nature des effets indésirables étaient similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents sous aripiprazole que chez les adultes sous aripiprazole (et plus fréquemment que sous placebo) : somnolence/sédation et trouble extrapyramidal ont été très fréquents (≥ 1/10), sécheresse de la bouche, augmentation de l'appétit et hypotension orthostatique ont été fréquemment rapportés (≥ 1/100, < 1/10). Le profil de tolérance lors d'un essai d'extension, en ouvert, sur 26 semaines était similaire à celui observé lors de l'essai à court terme contre placebo.
L'analyse poolée d'une population d'adolescents (âgés de 13 à 17 ans) atteints de schizophrénie, exposée au produit sur des périodes allant jusqu'à 2 ans, révèle une incidence de prolactine plasmatique basse chez les filles (< 3 ng/ml) et les garçons (< 2 ng/ml) de 29,5 % et 48,3 %, respectivement. Au sein d'une population d'adolescents (âgés de 13 à 17 ans) atteints de schizophrénie, exposée à une posologie allant de 5 mg à 30 mg d'aripiprazole pendant une période allant jusqu'à 72 mois, l'incidence d'une prolactine sérique basse chez les filles (< 3 ng/ml) et chez les garçons (< 2 ng/ml) était respectivement de 25,6 % et 45,0 %.
Episodes maniaques dans les troubles bipolaires de type I chez l'adolescent âgé de 13 ans et plus La fréquence et la nature des effets indésirables chez les adolescents atteints de troubles bipolaires de type I étaient similaires à celles observées chez les adultes, à l'exception des réactions suivantes : très fréquemment (≥ 1/10) somnolence (23,0 %), troubles extrapyramidaux (18,4 %), akathisie (16,0 %) et fatigue (11,8 %) ; fréquemment (≥ 1/100, < 1/10) douleur abdominale supérieure, augmentation de la fréquence cardiaque, prise de poids, augmentation de l'appétit, contractions musculaires et dyskinésie.
Les effets indésirables suivants avaient une relation effet-dose possible : troubles extrapyramidaux (l'incidence était de 9,1 % à une posologie de 10 mg, 28,8 % à une posologie de 30 mg et 1,7 % pour le placebo) ; et akathisie (l'incidence était de 12,1 % à une posologie de 10 mg, 20,3 % à une posologie de 30 mg et 1,7 % pour le placebo).
Les variations moyennes de poids chez l'adolescent présentant des troubles bipolaires de type I après 12 et 30 semaines de traitement étaient respectivement de 2,4 kg et 5,8 kg avec l'aripiprazole et de 0,2 kg et 2,3 kg avec le placebo.
Dans la population pédiatrique, une somnolence et une fatigue ont été observés plus fréquemment chez les patients atteints de troubles bipolaires par rapport à ceux atteints de schizophrénie.
Dans la population pédiatrique atteinte de troubles bipolaires (patients âgés de 10 à 17 ans), exposée au produit sur des périodes allant jusqu'à 30 semaines, l'incidence des taux plasmatiques bas de prolactine était de 28,0 % chez les filles (< 3 ng/ml) et de 53,3 % chez les garçons (< 2 ng/ml).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.<
www.ema.europa.eu/docs/en_GB/document_li...3/03/WC500139752.doc>
j ai été reçu par deux expert psychiatre, le premier s inquiété du fait que mon enfant avait pendant ma grossesse une malformation cardiaque mais qui s est révélé négative a la deuxième échographie.Il s iniquité aussi du fait que j étais prête a rejoindre mon compagnon au Maroc en ca s d'expulsion. Le deuxième était prêt a allégée la mesure mais a constaté après avoir consulté ma curatelle que je venais de rencontrer un expert psychiatre peut de temps avant. Donc n a pas envoyé de lettre au juge des tutelles. Cette dernière m a dit qu' elle ne me verserai pas la prime de naissance qu' elle me la donnerai en fonction des achats a faire pour le bebe. Je vis avec mon compagnon depuis plusieurs mois et déclaré a la caf depuis fin avril.
ma curatelle ne me versait que 80 euros par semaines tout en sachant que je vivait avec monsieur; Par solidarité et parce qu' il est le père de mon enfant je l ai aidé financièrement et cela continue aujourd hui. Ma curatelle était d accord pour m augmenter mon pécule par semaines de 20 euros mais a prétexté qu' elle venait de me verser 50 euros pour le petit et donc qu' elle ne me verserait pas les 20 euros supplémentaire par semaine! .Aucune humanité pour je crois une ancienne assistante sociale devenu mandataire judiciaire. J ai quand même obtenu d elle qu' elle prenne en charge les repas de mon compagnon dans un restaurant associative a raison de 3.70 euros le repas par jours pour 5 jours ainsi que pour moi même.La prime de naissance n étant versée qu' au deuxième mois de naissance j ai avancé tout les dépenses pour l arrivée du bebe né prématuré avec mes 80 euros par semaines sans compté et je vous l ai décrit plus haut, la nourriture l achat de chaussure pour monsieur sans ressources. Aujourd hui une nouvelle menace plane sur ma tete La maison de la solidarité et PMI de poitiers ont ecrit au procureur de la république car il s inquiéterai de mes problèmes psychiatrique…
A noter egalement qu elle a refuser de me donner 20 euros supplementaires mais qu elle etait d accord pour me payer une chambre d hopital a 20 euros par jour pour une duree imprecise (mon bebe est premature et l equipe medicale ne sait quand mon bebe pourra sortir)mais au moins deux a trois semaines ce qui represente 420 euros pour 3 semaines tout de meme!J ai demande l ouverture d un livret il y a plusieurs mois elle m a dit " ne me demande rien en terme d argent" cela aurait pu permettre les evenements survenues depuis ces derniers mois.j ai faiili etre mis sous tutelle au lieu de curatelle renforcee ( statut actuelle) j ai demande egalement l ouverture d un livret pour mes enfants elle n est pas d accord J aurai aime leur mettre un peu d argent sur un livret a chaque anniversaire!
Merci cordialement
j ai ecrit egalement a un avocat
Nous venons de recevoir la decision du juge des tutelles qui est defavorable au mariage, le mariage ne permettrait pas de regulariser la situation administrative de monsieur Nous souhaitons faire appel et demandons a ce que vous nous defendiez dans cette affaires puisque vous etes la plus a meme a responder aux questions lies au droit des etranger.je vous envoie par courier la decision recu aujourd hui.
Merci cordialement
dans mon entourage personne n a recu d autorisation de mariage sous tutelle curatelle
et le juge me demande pourquoi j ai pas demandé le mariage avant de concevoir l enfant la curatelle m a autorisé un mariage religieux pour une precedente rencontre mais pas un mariage administartive
encore heureux que nous ommes en france et que nous sommes pas condammé surtout pour le pere a de la prison pour avoir un enfant hors mariage c est de l abus!