Malheureusement il est impossible de suivre votre conseil, car le mjpm qui a été désigné s'est arrangé avec le directeur de l'EHPAD où réside la personne à protéger , à faire interdire les visites du mandataire requérant, sans avoir sollicité l'avis du juge ni l'avis d'un médecin psychiatre indépendant. Le mjpm a aussi fait abandonner, au majeur sous sa tutelle, la procédure d'appel qui avait été introduite contre l'ordonnance l'ayant désigné comme mandataire spécial pendant l'instruction de la requête... et prétend que la personne à protéger ne veut plus recevoir les visites du mandataire, ce qui est incompréhensible ou le résultat d'une influence malveillante à l'égard du mandataire du MPF et d'une manipulation facile d'une personne au jugement altéré ( ...Alzheimer...) . Comment expliquer que le juge ait pu accorder quelque crédit à ces déclarations du mjpm (alléguant quelque maltraitance et malhonnêteté ... de la part du mandataire, accusations prétendument faites par la personne à protéger ... ? ) .
Ne suffisait-il pas au juge, apprenant ces prétendus délits, de diligenter une enquête ( par déclaration au Parquet...) , alors que le mjpm n'avait évidemment pas mission d'enquêter, et qu'il n'était pas chargé de la protection de la personne avant d'être nommé tuteur ( il était mandataire spécial, uniquement chargé de la gestion comptable et administrative ).
Le mandataire désigné dans le MPF n'a aucun intérêt financier dans cette affaire, puisqu'il est bénévole et sachant qu'un inventaire a été fait et aussi que des comptes de gestion doivent être soumis chaque année au notaire auteur du MPF .
Les allégations d'intention d'enrichissement du mandataire du MPF sont donc totalement infondées.