Merci pour votre réponse, mais vos interrogations sont hors de propos.
La relation est très ancienne et je n'ai fait que la poursuivre. Jusqu'à aujourd'hui tout se passait bien. J'ai envisagé le CESU, mais il aurait eu un coût supérieur pour ma tutélaire et j'aurais eu à ma charge l'établissement d'un nouveau contrat et d'éventuels nouveaux avenants. Je connais le CESU et le pratique pour un autre salarié. Et ce n'est pas non plus une solution permettant de soulager le particulier-employeur, loin de là...
Quant à licencier un employé, il n'y a aucun problème : suppression de poste. Mais alors, impossible de ré-embaucher le salarié ou un autre sur le même poste, ultérieurement, sans compter les indemnités à verser (pouvant aller jusqu'à plusieurs mois de salaires suivant l'ancienneté).
Oui, les associations mandataires simplifient la vie des particuliers-employeurs. Il n'y a à ce sujet aucun doute, d'autant que la salariée en question est gentille, dévouée et très arrangeante. Tout comme il n'y a aucun doute quand au coût bien plus lourd de la version "prestataire" (l'association prend tout à sa charge et refacture une prestation globale à son adhérent) qui n'est pas non plus dénuée de souci pour le particulier (j'en sais quelque chose, ma mère étant dans ce cas).
Mon souci aujourd'hui est simple et j'espère pouvoir y répondre lorsque j'aurai une copie du contrat d'origine : quel est le périmètre exact de la responsabilité de l'association mandataire dans mon cas (au-delà de son devoir d'information et de conseil envers son adhérent qui, en l'occurence et à mon avis, ne fait aucun doute) ?